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mercredi 22 avril 2009

Je doute, tu doutes, il doute...

Merci pour vos petits mots. Bien sûr c'est à moi de faire le boulot! Mais c'est toujours une richesse de savoir ce qu'on peut espèrer de moi.
Je continue d'essayer, de baillonner ce fichu censeur qui me hante et m'empêche. D'où vient-il d'abord? Pourquoi toujours cette impression d'être mauvaise? Pourquoi ce jugement sur tout ce que je produis? Pourquoi le projecteur est une lumière noire?
Mais voilà, je continue, j'essaie de laisser la place à mes petits démons, sans pour autant y prendre garde.
Et vous? Quand vous écrivez, doutez-vous autant que moi? Avez-vous des petits trucs pour les suplanter?

7 commentaires:

  1. pas de lumière noire, pas de " mais", laisse allez tes doigts sur le clavier, la contingence des rendez-vous est une partie des remises en question. Pas de doutes, continues, amicalement.

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  2. me contacter : armelle-jag@hotmail.fr

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  3. Je crois qu'écrire, c'est tenter de dépasser ses doutes, Maud ... C'est mettre des mots sur des maux, des peurs ! Lire et écrire, c'est exorciser ses angoisses ! Personnellement, je doute encore et toujours, c'est ce qui me fait avancer ...

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  4. je doute en permanence !! sur tout et pour tout !! c'est assez terrible en fait !! mais je crois que c'est l'essence qui permet de créer !! je te souhaite une exquise soirée Maud !

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  5. En écrivant oui, des fois, il peut y avoir des doutes, alors tu demandes à chéri, à la meilleure ami ou au voisin qui part en vélo tous les matins. Ou mieux tu parles à ton chat et ses miaulement peuvent te faire repenser à qqch (du fait que tu parles seule !!!) lol......... Tu écris très bien alors continue, moi j'attends le 2ème mai en attendant, je patiente pour le samedi 2 Mai où je dois te rencontre à Morlaix (je suis toute excitée !!!)

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  6. Je doute beaucoup. Mais c'est surtout après le mot fin, quand je confie le manuscrit à mon éditrice. Et tant qu'elle ne m'a pas donné son avis, je me ronge les sangs. Ensuite, cela revient dès la parution officielle, et c'est le pire ! je ne dors plus, je ne mange plus, je guette les premiers retours de lecteurs. Ensuite c'est fini :-) jusqu'à ce que je me retrouve à écrire !! c'est sans fin et c'est certainement le lot de tout écrivain. Sois + têtue que tes doutes ;-)

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  7. Je crois que le doute permet d'être perfectionniste... et que seul le temps, avec le recul qu'il permet d'avoir, aide à juger un peu plus objectivement...

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